Au moment où le chômage et la précarité prennent des proportions dramatiques, la répression contre les salarié-es et les militants syndicaux dans les entreprises atteint son paroxysme. Pas un secteur, public ou privé, n’y échappe...
Malgré les magouilles de FO pour négocier avec la seule CGT, le premier mai 2014 sera unitaire.
Voir ci-dessous l’article et la photo de la Nouvelle République du 17 avril 2014 :
" Quinze jours après la rumeur qui a touché l’école de la Blotterie à Joué, de nombreux enseignants sont encore sous le choc.
Les pitres "socialistes" au pouvoir continuent, méthodiquement, à sombrer dans le ridicule. Cette fois-ci, ils ont mis, au frais des contribuables, la ville de Chinon en état de siège pour une manifestation pacifiste. De mieux en mieux !
Malgré l’absence de la FSU, UNSA et FO, le rassemblement de soutien organisé par SUD-Education 37 aux deux enseignantes de Joué-Les- Tours menacées par l’extrême-droite a réuni près de 250 personnes (une majorité de l’éducation nationale, mais aussi des parents d’élèves et une dizaine de militant-e-s de SOLIDAIRES 37).
Environ 170 personnes ont répondu à l’appel du Collectif Antifasciste Tourangeau contre "le jour de colère" à Tours. Finalement, la nébuleuse fasciste s’est défilée à Nantes nous laissant les rues de Tours. A noter, quelques coups de matraques et gazages des flics à hauteur de la rue de Châteauneuf. Et aussi, et c’est récurant avec les flics de Tours, la menace, à deux reprises, d’un tir de flash-ball à moins d’un mètre des manifestant-e-s à hauteur de visage !
Dimanche 6 avril, le Collectif antifasciste tourangeau, rejoint par de nombreuses autres organisations (dont SUD-PTT, SUD Rail, SUD Education, SUD Etudiants et SOLIDAIRES) , appelle à la mobilisation des forces progressistes locales contre l’extrême droite
SUD/SOLIDAIRES 37 appelle à Fukuchinon, le rassemblement des anti-nucléaires du grand Ouest, le 12 avril à Chinon.
Le 4 avril 2014, la Confédération Européenne des Syndicats organise une manifestation européenne à Bruxelles. Elle revendique une plus forte dimension sociale dans la politique de l’Union Européenne.